Pour moi, dès le printemps et tout au long de l’été, le temps ne se mesure plus en heures, mais en fleurs. Continuer la lecture

Pour moi, dès le printemps et tout au long de l’été, le temps ne se mesure plus en heures, mais en fleurs. Continuer la lecture
J’ai lu récemment que l’étymologie du mot « vacances », nous vient du latin vacare, qui signifie « être libre, vacant, inoccupé ». Ce qui me touche dans cette définition, c’est qu’en cette période de vacances, ce n’est pas tant d’être inoccupé, que d’être libre d’être et de faire, qui me comble. Continuer la lecture
« Il pleut, il pleut bergère, fais cuire un peu de riz, reste dans la chaumière, allume les lumières,
fais tremper les cachou-ous pour en faire une trempette, tralalalalalèèère, tralalalalalala. » Continuer la lecture
Cet après-midi, le sureau était fin prêt, tout gorgé du soleil généreux de septembre. D’ailleurs, si nous attendions une journée de plus pour le cueillir, les oiseaux ne nous auraient rien laissés. Ils sont judicieux les oiseaux, ils se gavent et se saoulent de ces petits fruits si riches de vie. Continuer la lecture
Avoir en tout temps un goût d’été et sous la main des herbes du jardin: c’est ce que m’offre les herbes salées, un mélange d’herbes fraîches et de quelques légumes préservé avec du sel. Continuer la lecture
Cueillette d’achillée à vélo
Pour cette dernière journée de l’année, j’ai le nez bouché, la gorge enflée et du mucus qui se promène du nez aux bronches et me tient dans un état de semi zombitude. Entre 2 frissons, trois atchoum bien sentis, je bois mon infusion (achillée millefeuilles, gingembre, thym, guimauve et fleur de sureau), me parfume à l’eucalyptus radié et au sapin baumier et prend une petite shot de Drastix (hydrate du Canada, astragale, etcétéra), une teinture mère composée de plantes médecines aussi robustes que notre hiver québécois…
Continuer la lecture
Joyeux Noël à vous tous amis(es) réels et virtuels. Vous êtes le miroir de ce que je suis et de ce que nous sommes collectivement. Continuer la lecture
Ma petite fille Romy qui a 6 ans, entre dans la maison pour me demander du papier collant pour Maïka, sa cousine de 8 ans. Maïka arrive quelques instants plus tard avec un cataplasme de guimauve et lavande qu’elle s’est fabriquée pour soigner une blessure qu’elle vient de se faire en jouant. Noémie, ma fille, est complètement hilare devant ce pansement improvisé qui dit mieux que toute chose la force de la transmission. Continuer la lecture
« Va péter dans les fleurs »! Quand j’étais petite, c’est ce que nous nous disions mes sœurs et frères et moi, lorsque coquins et coquines nous nous disions des soi-disant gros mots. Ce sont, à n’en pas douter, les plus beaux des gros mots que nous nous lancions. Continuer la lecture
La froidure a enfin desserré son éteinte
libérant le vent doux du printemps qui attendait impatient,
prisonnier qu’il était de la Reine des glaces. Continuer la lecture